MERCREDI 26 AOUT 2020

LE PUY NOTRE DAME

Rappel du concours photo

La commune du Puy Notre Dame organise un concours photo sur le thème :
« Les paysages au Puy Notre Dame », organisé du 15 juillet au 15 septembre 2020.
Voici l’article diffusé dans la Brève :
Le Puy Notre Dame regorge de paysages bucoliques, d’un patrimoine classé, de vignes, de bois, de prairies… profitez de l’été pour photographier ces paysages !
Du 15 juillet au 15 Septembre, la commune organise un concours de photographies.
Ce concours est ouvert à tous, habitant ou non, à condition d’être âgé de plus de 18 ans et de ne pas être photographe professionnel.
Le thème est, vous l’aurez compris :
les paysages naturels ou bâtis du Puy Notre Dame. Les photographes d’un jour pourront envoyer par mail à l’adresse suivante : mairie.le.puy.notre.dame@wanadoo.fr.
Un jury sélectionnera les meilleures photographies qui feront l’objet d’une exposition sur la commune. Les trois meilleures photographies se verront remettre un prix d’une valeur de 100 € pour le 1er prix, 60 € pour le 2ème prix et 40 € pour le 3ème prix.
Pour participer, c’est simple, il suffit de suivre le règlement disponible en mairie sur simple demande.
Alors, mettez en lumière les paysages, sites et monuments de notre quotidien et partagez les avec votre regard !

LE PUY NOTRE DAME

Les commerces de la commune de 1948 à 2020 - Rue Notre Dame

En parlant de notre commune, on parle souvent de la ville du Puy Notre Dame.
Ce n'est pourtant qu'une petite commune comme les autres au niveau de sa population.
Il y a une explication à cela.
En premier lieu c'était une ville close où les habitants des alentours venaient se protéger.
On trouve encore des traces visibles des remparts du côté de la rue Saint Julien
En second , un lieu de pélerinage susceptible de provoquer du commerce ce qui était le cas.
Cela explique la configuration de l'urbanisme différent des communes voisines avec des maisons hautes à deux étages.
Les commerces occupaient les rez-de-chaussée d'immeubles sur la presque totalité de la rue principale
Vous voulez la preuve !
J'ai recherché dans ma mémoire, aidé par quelques habitants de la commune, la situation commerciale à partir de 1948.



2 rue Notre Dame
Il existait une épicerie « Codec » exploitée par la famille Coquelin, puis par Madame Voué
Lors de la cessation d'activité Monsieur Lizé dénommé « Coco Fringues » a ouvert un magasin de vêtements
Après sa fermeture, Brigitte Roux, qui venait de reprendre le magasin de Madame Hay a transféré le salon à cet emplacement
Son activité existe toujours à la satisfaction des habitants

4 rue Notre Dame La droguerie de Madame Serge Guillon, un bric à brac, une véritable institution.
On trouvait tout depuis les peintures, les jouets, les bricoles
S'il vous manquait quelque chose, c'était la Samaritaine du Puy
Marie Lyse Fermenteau a pris la suite quelques temps

6 rue Notre Dame
Une figure de la commune dans sa cordonnerie, le père Lusson
Il travaillait surtout le matin car les soirées étaient quelquefois difficiles
Ensuite les frères Boutin se sont installés comme maçons, puis Eric Segret a transféré son magasin au début de son activité avant de rejoindre l'emplacement place de l'Eglise
Un temps Laurent Grolleau y a exercé une activité de cordonnerie

8 rue Notre Dame
Une boucherie réputée du temps de Camille Proust et ensuite de la famille Poulain (un nom prédestiné) et Monsieur et Madame Provost
L'activité a cessé du temps de la famille Morel car la boucherie n'était plus aux normes

12 rue Notre Dame
se trouvait la cordonnerie Capel qui avait succédé à Monsieur Lusson

14 rue Notre Dame
Une autre épicerie, celle de Monsieur Teston, puis de Monsieur Millet

8 rue Notre Dame
La maison de Madame Lucas aveugle
Elle louait une permanence au Crédit Industriel de l'ouest et au Crédit Agricole

24 rue Notre Dame
Un marchand de chaussures Monsieur Bousseau connu également comme un grand joueur de bridge

28 rue Notre Dame
Le siège de l'entreprise de peinture Serge Guillon
Une figure de la commune, conseiller municipal et mari de notre droguiste du 4 rue Notre Dame

8 rue Notre Dame Le siège de l'entreprise de peinture Serge Guillon
Une figure de la commune, conseiller municipal et mari de notre droguiste du 4 rue Notre Dame

30 rue Notre Dame Le siège de l'entreprise de couverture plomberie et chauffage Jean Chalon
Toutes les couvertures de la commune sont passées entre les mains des deux couvreurs Chalon et Cassin dans les années 1960
On descend maintenant un peu plus loin en face du bar « Le Pénalty » vers le coin des forgerons

36 rue Notre Dame
C'est maison qui est en train de s'écrouler.
Il existait la forge de Monsieur Bonnet, racheté par Monsieur Trompé.
Une partie de l'immeuble n'était pas fermée et on pouvait apercevoir de la rue les chevaux se faire ferrer

38 rue Notre Dame
Il existait un coiffeur du nom de Maillard

42 rue Notre Dame
L'autre forgeron en l'occurrence Monsieur Crottereau, le père de Michel qui s'est transféré ensuite route de Doué la Fontaine

44 rue Notre Dame
A l'origine il y avait un peintre du nom de Bricard
Ensuite un dentiste Monsieur Leroy qui habite maintenant au Coudray Macouard
Il a exercé dans les années 1990.
En partant du :

2 rue de la Collégiale
(où se trouve aujourd'hui le docteur Delavigne)
il existait un garage tenu par Monsieur et Madame Poireau, puis par leur fils Bernard .
Le fils avait d'ailleurs une 206 Peugeot (anecdote bien connu des anciens) dont le numéro était particulier (1 A 49).
Cet immeuble a été abattu pour construire l'ancienne poste, aujourd'hui remplacée par le cabinet médical au rez-de-chaussée et un gîte de randonneurs à l'étage.^

1 rue Notre Dame
Il existait un magasin d'épicerie-primeur de Monsieur Billy qui a eu pour successeur Monsieur Toucheteau
Il a ensuite été cédé à Madame Jacqueline David.
Il a été vendu pour réaliser un magasin d'électricité appartenant à Monsieur Joseph Thomas.
L'entreprise a été reprise un moment par un électricien de Montreuil Bellay, Monsieur Ney, puis par Eric Segret, bien connu sur la commune.
Madame Josiane Ferchaud y a ensuite vendu des vêtements

3 et 5 rue Notre Dame
On trouvait une quincaillerie tenue par Monsieur et Madame Roger Chalon, puis ensuite par leur fils Jean au numéro 3.
A côté au numéro 5, il s'était créée une pharmacie avec Monsieur et Madame Debeauvais en 1948.
Monsieur Sweecke a pris la suite du pharmacien et a acquis les deux immeubles
Il a transféré la pharmacie actuelle au numéro du numéro 5 au numéro 3
Monsieur Robin a pris la suite
Monsieur Chalon a installé son entreprise plus bas dans la rue



7 rue Notre Dame
Ce grand immeuble transformé aujourd'hui en locatif était le siège d'une épicerie tenue par Madame Eulalie Lucazeau et ensuite « L'Etoile de l'Ouest » avec Madame Réveillère.
Vendu pour cause de retraite, il fut remplacé un temps par la poissonnerie de Monsieur et Madame Chenoir.
Monsieur et Madame Cureau prirent le relai avec un magasin de fleurs et une exploitation de funéraire.
Continuons à descendre la rue au

11 rue Notre Dame
On trouvait la bijouterie horlogerie d'Alcide Guignon
La famille Guignon est également à l'origine de nombreuses séries de cartes postales anciennes de la commune

13 rue Notre Dame
Il fut occupé pendant de nombreuses années par la bourrelerie de Monsieur Auriault et transformé en locatifs dans les années 1990

17 rue Notre Dame
On pouvait découvrir la mercerie de Madame Mazin , puis de Madame Lominé, transformée également à sa retraite en locatifs
Continuons à descendre au

21 rue Notre Dame
On découvrait la quincaillerie de Madame Cassin et sur l'arrière les ateliers de l'entreprise de couverture du fils Robert Cassin
Il a eu en son temps de nombreux ouvriers mais le principal Monsieur Brossard est resté toute sa carrière dans l'entreprise

23 rue Notre Dame
Madame Hay, la tante de Monsieur et Madame Hay qui ont pris la suite d'un salon de coiffure pour femmes.
Bernard Hay, son mari, a ouvert ensuite sur le côté droit un salon pour hommes
A leur retraite, Brigitte Roux, leur employée, a poursuivi l'activité en la transférant face à l'église
Un peu plus bas au

29 rue Notre Dame
se trouvait une épicerie/primeurs de Monsieur et Madame Lacroix.
On reconnaissait Monsieur Lacroix avec son accent chantant du midi

33 rue Notre Dame
Existait une chapelière bottière Madame Demeurant suivie de Madame Devy
Sur l'immeuble situé juste derrière, sous le porche de la cour commune, la célèbre charcuterie Merceron
Cet immeuble a ensuite été loué par notre regretté peintre Monsieur Gouin .
Quelques mètres plus bas dans la

Rue du Bélier d'or
Une épicerie tenu par Monsieur et Madame Leclerc connue sous le nom de « Blanche »
Un peu plus loin l'entreprise d'électricité de Monsieur Pionneau dans une maison aujourd'hui écroulée

35 rue Notre Dame
Mme Nau à l'origine de la boulangerie, puis Monsieur et Madame Georget exploitée avec l'aide de Monsieur Riotteau
Plusieurs boulangers se sont succédés Monsieur Dubuisson, puis Monsieur Ledu et Monsieur Dupont qui a perdu malheureusement son bras dans son pétrin
La boulangerie n'étant plus aux normes, elle a été fermée
Pendant de nombreuses années un dépôt de pains a été approvisionné par Monsieur ClaudeCouaillier, boulanger du Vaudelnay, avant que la municipalité soutienne la création d'une boulangerie aux normes.
Continuons à descendre au

43 rue Notre Dame
Un bar, un monument de la commune à l'époque, le rendez vous des footballeurs des années 1950. appelé « Le Pénalty »
Il a était tenu par la famille Bonnet qui a réuni le tabac-journaux, et ensuite par Jacqueline David, la fille.
Il fut repris par Madame Bonin et son mari installa à côté un salon de coiffure pour hommes.
Dans la cour commune derrière, Madame Maudoux vendait dans les rues avec sa charrette et était spécialisée dans les ventes de sardines.
Juste a côté Georges Houet menait avec dextérité une menuiserie



45 rue Notre Dame
La propriété de l'ancien maire Monsieur Joseph Civrais qui exploitait une entreprise de céréale, engrais, etc
La commune n'ayant plus de boulangerie a acheté l'immeuble dans les années 1990 pour y installer une boulangerie chaude.
Seul ce genre d'exploitation pouvait être subventionné par l'Europe, la Région et le Département
Elle est exploitée depuis sa création par Monsieur et Madame Petel avec réussite.
Ils sont toujours en activité

Les commerces de la commune sur la rue de la Collégiale de 1948 à 2020

Vous vous êtes aperçus que le centre du Puy Notre Dame était vivant en récapitulant le nombre de commerces de la rue principale.
Bien évidemment je n'ai pas parlé de l'ambiance mais sachez que les bars rassemblaient de nombreux clients et avaient une activité importante en accueillant avec plaisir les clients le temps de ferrer le cheval ou de ressemeler les chaussures.
Les déplacements ne se faisaient pas non plus en cinq minutes.
Parmi les autres rues, la rue de la Collégiale et la rue Saint Denis n'étaient pas les dernières à être animées.
Il est vrai que l'étroitesse de la voirie et le bar de Madame Legout favorisait les regroupements.
Reprenons le haut de la rue de la Collégiale

4 rue de la Collégiale
Madame Dilay a exercé et cédé sa boucherie à Monsieur et Madame Amand Chiron avec de la très bonne viande comme ses concurrents.
Le patron s'occupait également des tournées, les retours étaient quelquefois difficiles mais heureusement la voiture le ramenait toujours .
On arrête pas le progrès
L'abattoir se trouvait à l'époque dans le gite de la rue Sainte quelques mètres plus bas
En face Monsieur Palussière tenait un cabinet de hongreur et faisait office de vétérinaire
Un peu plus bas dans la rue Sainte, chez anciennement Monsieur Nicoleau, une petite épicerie de Madame Maillard

6 rue de la Collégiale
La boulangerie de Madame Normand, puis Monsieur Lemeunier, le contraire de son voisin, calme.
Souvenez vous de sa spécialité, la galette du Puy
A coté dans un immeuble aujourd'hui abattu et face à la petite porte de l'église, le tailleur Monsieur Soulard

8 rue de la Collégiale
Monsieur Gauthier, forgeron, le grand père de Madame Sauvêtre,
La forge pour faire chauffer les fers existait encore lorsque Paul Corvez a acheté l'immeuble et s'est installé comme photographe

Parking rue de la Collégiale
Des maisons ont été abattues dans les années 1988/89.
Il existait la boulangerie Janvier , puis ensuite la menuiserie Levot
Dans le fonds de la cour commune une couturière Madame Cantet

18 rue de la Collégiale
Le long immeuble longeant le parking du prieuré.
C'était l'épicerie du père Cady, un personnage
Une anecdote
L'homme aimait bien la dive bouteille et le soir quelquefois le ton de sa voix haussait le son des notes pour mieux se faire entendre de son épouse.
Un jour en désaccord sur la vaisselle, les habitants de la rue ont pu apercevoir les assiettes voler par la fenêtre tels les OVNI et atterrir en mille morceaux sur le bitume de la rue.
Monsieur Desnouhes, le doyen actuel du Puy, et son épouse ont pris la suite avec calme pour plusieurs années avant de prendre une retraite bien méritée

20 rue de la Collégiale
Une autre épicerie se trouvait là tenue par Madame Pouponneau, les "DOC"

22 rue de la Collégiale
L'épicerie de la dernière génération que beaucoup de personnes d'aujourd'hui ont connu.
Elle a été créée par la famille Manget et se sont suivis les familles Robet, André Le Clorennec et Sophia Guesne.
Peut être qu'un jour quelqu'un reprendra un multi commerce ?

22bis, rue de la Collégiale
Un restaurant « Le Bouchon Ponot » créé par Jean Yves et aujourd'hui fermé

24 rue de la Collégiale
Un primeur de qualité  qui fut tenu très longtemps par Madame Cochonneau et ses enfants Monsieur et Madame Guillou

1 rue de la Collégiale
En redescendant l'autre côté de la rue, on trouvait l'étude d 'Emile Monnier qui avait transféré son cabinet situé place de la Paleine à l'origine
Son fils Dominique a pris sa suite en 1974, suivi par Maitre Josse qui a transféré le cabinet place de l'Eglise.

3 rue de la Collégiale
Le Crédit Mutuel tenait sa permanence pendant les années 1990

7 rue de la Collégiale
Personne ne se souvient qu'Ida Fardeau était coiffeuse et lingère, toujours d'une gentillesse remarquable et d'égale humeur
Monsieur Lhommeau a pris sa suite comme kinésithérapeute

13 rue de la Collégiale

Attardons nous un peu au bar
Un monument classé monument historique pour sa fréquentation par les habitants
Madame Legout que nous reverrons pour la rue Saint Denis en était la propriétaire
Rappelez vous des années 50 avec le Pénalty, rue Notre Dame, siège des footballeurs
L'immeuble a été vendu à Monsieur et Madame Jojo Bondu, et les footballeurs ont transféré leur siège amical vers cette exploitation
Que de soirées pour une équipe qui pour la première fois a accédé en première division
Les successeurs, Monsieur et Madame Lucien n'ont pas démérité et ont poursuivi l'accueil des jeunes et des habitants
Avec des problèmes de santé, nos amis Lulu ont pris leur retraite et ont trouvé une successeure en l'occurrence Sonia
Appréciée par tous elle vient de vendre a Monsieur Duveau dit Ponpon et son épouse.
La mayonnaise a pris immédiatement avec un beau succès et une fréquentation malgré la crise du COVID
De plus ils ont ouvert une brasserie et font des plats à emporter l'hiver

Les commerces de la commune sur la rue Saint Denis et autres de 1948 à 2020

Nous arrivons au carrefour de la rue de la Collégiale, des Ducs d'Aquitaine et de la rue Saint Vincent
les rues sont étroites, mais imaginez les années 1950, sans sens interdit, avec le bar Legout d'un côté, le garagiste Mary en face avec un trottoir encombré de véhicules et l'arrivée de la rue venant de Thouars et de Chavannes
Il y avait de l'ambiance, surtout rue Saint Denis
A Paris, la réputation de l'artère de ce nom est connue
Au Puy Notre Dame, nous n'étions pas en reste mais pas de la même façon
Cette rue était vivante, surtout sur les trottoirs, où les joutes verbales mémorables des habitantes étaient fréquentes
Mais ce n'est qu'un clin d'oeil sympathique, revenons à nos commerces

2 rue Saint Denis Le garage automobile de Monsieur Mary, suivi par Monsieur Girard, racheté ensuite par Messieurs Poirier, Barbet et Bucher
Il se transformera en garage de réparation pour vélos avec Monsieur Cochin.
Monsieur Réveillère, prendra la suite en qualité d'ébéniste et le transformera en maison d'habitation

1 rue Saint Denis En face s'est installé dans les années 2000, un cabinet d'infirmières

6 rue Saint Denis On trouvait une petite épicerie, celle de Madame Michelet dont la fille a été longtemps la secrétaire de Mairie de Messieurs Civrais et Guyard
En descendant route de Thouars,

5 rue Saint Nicolas
L'entreprise Robert Colas, plâtrier.
La carrière de Robert, connu pour ses jeux de mots, se terminera malheureusement en mangeant au Bouchon Ponot.
Un peu plus bas,

15 rue Saint Nicolas
Souvenez vous l'ami Gérard Griffault qui avait transplanté son garage situé rue des Quints
Remontons au
3 rue des Ducs d'Aquitaine
Le Crédit Agricole a installé un bureau quelques années
et juste derrière au

2 rue du Parc
La menuiserie Gasté, dans les années 50.

1 Rue des Ducs d'Aquitaine
Avant Philippe et Françoise Gourdon, et avant 1939, l'étude du notaire Me Edeline, prédécesseur de Me Monnier
terminons ce quartier par

6 Impasse du Sablant
derrière la salle des fêtes
Lorsque la mairie s'est transportée où elle est actuellement, Eric Segret a acquis le hangar du fonds et a transféré son entreprise de plomberie, chauffage et toiture avec entrée par l'impasse

6bis, impasse du Sablant
Il a ensuite cédé une partie des bâtiments à Monsieur Martin qui a pris sa suite et qui vient de la rétrocéder à un carreleur, Monsieur Tozzi

LE PUY NOTRE DAME/VAUDELNAY/BROSSAY

L'entente sportive de football

Tour préliminaire de la coupe de France

Il s'est déroulé dimanche dernier contre US Mazé, un adversaire de niveau supérieur de Deuxième Division
L'équipe locale bien organisée et soucieuse de proposer du jeu, présentait un état d'esprit irréprochable.
Mais à la 23', suite à un manque de concentration, l'attaquant adverse bien servi, ouvrait le score (1-0)
La réaction fut rapide car 4 minutes plus tard, l'ESPV égalisait par François David (1-1)

Mi-temps:1-1

En seconde période, les organismes fatiguaient mais quelques occasions de part et d'autre n' aboutissaient pas par maladresse.
On se dirigeait vers les tirs aux buts, c'était sans compter sur l'opportuniste François David qui inscrivait le 2ème but à 10' de la fin du match
synonyme de victoire, encourageante pour la suite
A signaler que le match s'est déroulé sur une excellente pelouse et devant de nombreux spectateurs

Score final: ESPV - Mazé :2-1
Buteur : François David (x2)



MARDI 25 AOUT 2020

BROSSAY

Les 28 maires de Brossay



La Marianne se trouve dans toutes les mairies

Savez vous que la commune a été dirigée une seule fois par une féminine, Marie France Le Neillon pendant 4 mandats
Gilles Roussillat est le 28ème maire
Merci à Madame Le Neillon qui m'a communiqué la liste complète des personnes qui ont été élus dans la commune
Je vous communique cette liste intéressante pour les habitants

1 René Gallé :
1790

2 Jacques Minguin :
1793

3 Charles Pain :
1796 (maire provisoire)

4 Louis Thomas :
1801

5 Louis Falloux :
1802

6 Barthélémy Thomas :
1808

7 Joseph Thomas :
1811

8 Louis Thomas Desprez :
1832

9 Auguste Thomas :
1840

10 Louis Thomas Desprez:
1846

11 Auguste Thomas:
1848

12 Joseph Thomas :
1849

13 Charles Berthe :
1854

14 Auguste Thomas :
1870

15 Charles Berthe :
1871

16 Ernest Godbert :
1878

17 Pierre Falloux :
1884

18 Louis Falloux :
1891

19 Pierre Jamin :
1904

20 René Bégault :
1911

21 Louis Falloux :
1912

22 Honoré Merle :
1925

23 Achille Blanchard :
1929

24 Louis Brevet :
  1935

25 Louis Bordier :
1941

26 Monsieur Camille Liaigre :
1958

27 Marie France Le Neillon :
1995

28 Gilles Roussillat :
2020 (en cours)