LA VELO FRANCETTE

Un article de Saumur kiosque a attiré mon attention ce matin
Je vous en donne connaissance ci-après
Mais savez vous comment a été choisi le nom de cet itinéraire qui a beaucoup de succès aujourd'hui
Le comité de pilotage était présidé avec beaucoup de compétence par mon ami et collègue des Deux Sèvres , Président du Comité du Tourisme, Gérard Zabatta
Il avait programmée une réunion au comité du tourisme d'Angers pour choisir le nom de l'itinéraire
Tous les départements traversés étaient représentés par leur président en charge du Tourisme, les directeurs et les régions
Le matin même, Laurent Boron, directeur d'Anjou Tourisme, m'indiquait que le président des Deux Sèvres était souffrant et qu'il m'appartenait de présider la réunion en ma qualité de Président du Comité du Tourisme de Maine et Loire
La tache était ardue car nous devions ressortir un nom parmi de nombreuses propositions
Je me souviens que de nombreux administratifs dont certains du Maine et Loire étaient sceptiques sur ce nom de Vélo Francette
Finalement après de nombreuses interventions le vote a fait ressortir "La vélo Francette" dont tout le monde se réjouit aujourd'hui, même les représentants angevins dont certains avaient voté contre
Personnellement j'étais ravi d'avoir fait choisir ce nom original
Comme quoi la réussite d'un nom ne tient pas à grand chose mais assure aujourd'hui la notoriété de nos départements en développant encore un peu plus notre tourisme qui en a besoin
Après le succès de la Loire à Vélo, voilà une bonne raison pour les régions de continuer à travailler ensemble
Le tourisme n'a pas de frontières

Dominique Monnier

Article de Saumur Kiosque

Bon coup de pub pour la Vélo Francette au Pays-Bas

En Anjou, La Vélo Francette, 130 km de tracé qui suit les rivières du nord au sud du département, de la Mayenne au Thouet s’offrant une parenthèse sur La Loire à Vélo, entre Angers et Saumur.
Après une nomination en 2016, la Vélo Francette vient de se voir décerner le titre de Véloroute de l’année 2017 par les organisateurs du salon néerlandais FIETS EN WANDELBEURS, rendez-vous incontournable des amateurs de vélo et de randonnée au Bénélux, ce 11 février 2017.



Une belle victoire pour l’itinéraire vélo du Grand Ouest, tracé entre les plages de Normandie et la côte Atlantique.
Cette récompense souligne la qualité du parcours ouvert en 2015, qui accueille déjà de très nombreux amateurs.
Le jury composé de trois auteurs néerlandais de guides de voyages à vélo a été unanime pour l’élection de La Vélo Francette, au titre de Véloroute 2017 : il a beaucoup apprécié la diversité des paysages traversés et la qualité des hébergements « Accueil Vélo » sur l’itinéraire.
Autre raison invoquée, la bonne coordination entre les 3 régions et les 7 départements, dont le Maine-et-Loire, a joué également en la faveur de La Vélo Francette.



La Vélo Francette, un itinéraire vélo à travers la douce France

Ouverte en 2015, La Vélo Francette s’étend sur 630 km entre Ouistreham Riva-Bella et La Rochelle, à travers 7 départements (Calvados, Orne, Mayenne, Maine-&-Loire Anjou, Deux-Sèvres, Vendée et Charente-Maritime) et les régions de Normandie, Pays de la Loire et Nouvelle Aquitaine.
Partir des plages de Normandie, traverser le bocage Normand, descendre la vallée de la Mayenne, aborder le Val de Loire, parcourir le Marais poitevin pour atteindre la côte Atlantique… La Vélo Francette a le goût de la France secrète et authentique, historique et gourmande, bucolique et naturelle.

La remise du premier prix au salon Fiets à Utrecht (Pays-Bas)

Les représentants officiels de la Vélo Francette (Willy Aubineau, chef de projet et Romain Dupeyrou, président du comité de pilotage, président de l’Agence de Développement Touristique des Deux-Sèvres) ont reçu le prix de la Véloroute 2017 des mains du jury, en présence de la presse spécialisée invitée sur le salon. La remise du prix s’est suivie de la présentation au public de La Vélo Francette par le journaliste belge Robert van Weperen, spécialiste des véloroutes.

En Anjou, 200 partenaires "Accueil Vélo", sur la Vélo Francette et La Loire à Vélo (hébergements, loueurs, sites, etc.).
Ce sont aussi des formules originales pour le séjour du touriste à vélo anjoubivouac.com lebonpicnic.com bagafrance.com

CONSEIL DEPARTEMENTAL DE MAINE ET LOIRE

Note de Dominique Monnier

Un article du Courrier de l'Ouest de ce matin a ridiculisé la minorité de gauche du Conseil Départemental qui cherche par tous les moyens à s'opposer à la majorité
Mais il ne faut pas le faire systématiquement au risque de devenir risible
Je m'étonne de l'opposition sur ce sujet de Jean Luc Rotureau qui est souvent intervenu avec modération lorsqu'il était chef de groupe de la minorité
Mais s'engouffrer dans un dossier pour supprimer la retraite de ses anciens collègues qui ont cotisé volontairement et demander la suppression d'une somme à laquelle ils ont droit m'étonne de sa part
Nul doute que l'ancien maire d'Angers, Jean Monnier et Monsieur Dupuis, ancien président du tourisme régional, ont apprécié que leurs amis de gauche aient voté pour leur retirer leur dû
En effet en partant de ce principe il faudra supprimer à tous les Français bien entendu leur retraite même s'ils ont versé leurs cotisations
Peut être alors que toutes les personnes à partir de 60 ans (devenant économiquement non solvables )pourront demander le RSA au moment où cette même minorité fait des propositions pour en diminuer le nombre
Rien ne peut plus nous étonner de la part des amis de Monsieur Hollande

Dominique Monnier

Article du Courrier de l'Ouest

Jean-Luc Rotureau manque sa cible
L’élu angevin espérait ébranler la majorité départementale en dénonçant, mardi, une aide de 80 000 € à d’anciens conseillers généraux.

Raté.

Mardi, au Conseil départemental, Jean-Luc Rotureau trépignait d’impatience à l’idée de semer la zizanie dans les rangs de la majorité de centre-droit.
L’élu de la minorité de gauche croyait avoir soulevé un lièvre en pointant une aide du Département de 80 000 € à l’association des anciens conseillers généraux.
« Cette aide bénéficie à 11 ex-conseillers généraux et permet de financer des pensions de réversion », a détaillé l’élu.
Parmi eux figurent notamment des anciens élus de droite comme l’ex-ministre de l’Économie Edmond Alphandéry ou l’ex-président du conseil général André Lardeux, mais aussi de gauche comme l’ex-maire d’Angers Jean Monnier ou l’ex-maire de Noyant-la-Gravoyère Daniel Dupuis.
Selon la présidente de l’association incriminée, Myriam Dubois-Besson, également conseillère départementale de la majorité, les sommes seraient relativement modestes, « environ 500 € par mois ». «
Dans un contexte compliqué de méfiance de nos concitoyens, ces pratiques choquantes n’ont plus lieu d’être, a dénoncé Jean-Luc Rotureau qui a demandé qu’un vote à scrutin public soit organisé ou que la délibération soit retirée.
« Monsieur Rotureau veut jouer les chevaliers blancs.
On va voir », s’est amusé le président Christian Gillet qui, visiblement, s’était préparé à une telle attaque.

« La loi nous impose de verser cette aide »

« Avant 1992, les conseillers généraux pouvaient cotiser, sur la base du volontariat, à une association départementale pour leur retraite », a-t-il expliqué.
Et Myriam Dubois-Besson de préciser : « La loi nous impose donc de leur verser cette aide.
Nous n’avons pas le choix.
Au moins à hauteur de 67 000 €.
Les 13 000 € restant sont de notre ressort mais ils permettent de venir en aide à des veuves qui, pour certaines, en ont vraiment besoin ».
Patatras.
Le coup d’épée est parti dans l’eau.
« On peut s’opposer à la loi, a tenté, en désespoir de cause, Jean-Luc Rotureau.
Et puis ce débat permettra peut-être à ceux qui bénéficient de ce système et qui n’en ont pas besoin de dire qu’ils ne veulent plus de cette aide ».
« Les gens qui ont cotisé pour leur retraite y ont droit ou alors il faut aussi supprimer toutes les retraites des sénateurs, des députés… a tranché Christian Gillet.
Nous sommes respectueux de la loi de ce pays.
Et si nous ne la respections pas, les bénéficiaires pourraient intenter des procédures judiciaires contre le Département et seraient sûrs de gagner ».
À l’heure du vote public, la majorité s’est, sans surprise, prononcée à l’unanimité contre la proposition de Jean-Luc Rotureau.
Dans les rangs de la gauche, seule Fatimata Amy n’a pas suivi ses collègues.
« Je suis pour le respect de la loi », a-t-elle expliqué.
Affaire classée.